IMMIGRATION-----REPENTANCE

Publié le par spartacus

 LE RÔLE MALSAIN DE LA  « REPENTANCE »

 

1 – INTRODUCTION :

La question de l’immigration-intégration doit être traitée globalement et non de façon sectorielle ;  il faut cesser en effet d’octroyer la nationalité française à des personnes qui ne sont pas prêtes, psychologiquement et moralement, à l’assumer et s’appliquer, en revanche, à faire respecter la loi française par tous, sans exception. C’est la cohésion nationale qui est désormais en jeu ; tout accepter met la France par terre !

 

2 – LA DIALECTIQUE CULPABILISATION- VICTIMISATION

La décolonisation a traumatisé beaucoup de monde, soit ! Mais il devrait tout de même être possible, cinquante ans après des drames partagés, de traiter sereinement du passé, avec ses ombres et ses lumières, au lieu de renier son histoire en se laissant enfermer dans la dialectique culpabilisation- victimisation. Or, c’est malheureusement ce qui se passe.

Le discours dominant ne parle que des « horreurs » de la décolonisation sans en mentionner ses effets parfois bénéfiques sur les populations autochtones et, dès lors, plus personne n’écoute le peuple français, qui est pourtant le plus légitime pour parler objectivement des problèmes engendrés par la décolonisation.

            De surcroît, transformer les Français de souche en « bourreaux » n’a fait qu’injecter le poison de la haine dans le cœur des enfants issus de l’immigration. La France s’autodétruit sans rendre service pour autant aux immigrés, puisqu’on attribue leurs erreurs ou encore leur manque d’investissement, à la société. A partir du moment où l’on enferme les immigrés dans le rôle de victime, on leur envoie le signal que tout leur est dû. Or, cela n’est pas vrai.

La France fait beaucoup pour les immigrés et leurs descendants et ceux-ci ont encore énormément à faire pour se rapprocher des Français de souche européenne et de culture chrétienne, en particulier les Maghrébins et les Africains dont la culture reste très éloignée de celle de leur pays d’accueil. Il fallait d’emblée être ferme et affirmer que nos valeurs ne changeraient pas, parce qu’elles ne sont pas négociables, or on a fait l’inverse. Dans ces conditions, il est naturel qu’ils développent de moins en moins d’efforts pour respecter les normes collectives françaises qui sont le « fruit » de plus de deux mille ans d’histoire. Ils sont convaincus que celles-ci vont changer pour s’adapter à eux.

            II faut dire aux populations d’origine étrangère tout ce que l’Etat fait pour elles, l’argent  qui est injecté dans tous les domaines soit directement, soit par le biais des Associations, c’est ainsi qu’on aidera les enfants de l’immigration à se construire un socle de reconnaissance sans lequel rien d’harmonieux ne sera jamais possible. Ce n’est pas en se flagellant qu’on fera aimer la France aux enfants et aux adolescents des banlieues. Bien au contraire, à croire que notre comportement relève parfois de la psychiatrie !

 

3- QUE FAUT T’IL FAIRE ?

Rien d’autre que le modèle d’intégration républicaine qui fonctionnait très bien ; on doit accueillir les gens dans la Communauté française et non l’inverse ! Ils doivent respecter le système français. Si l’on n’avait pas perdu de vue cette évidence, on aurait suscité le désir d’intégration. Mais comment y parvenir quand on injecte 200 000 nouveaux entrants par an  dans une société déjà en proie à des difficultés majeures ? (chômage, récession ….). C’est irresponsable, grave et fondamentalement dangereux ! Il est évident que là réside le défi des prochaines années : si l’on continue comme aujourd’hui, nous irons vers des troubles majeurs pouvant mettre en danger notre cohésion et identité nationales. Trop de gens arrivés récemment n’éprouvent plus le besoin de respecter les lois de la République, pire ils reconstituent leur société d’origine sur le territoire français. Si rien n’est fait pour y mettre un terme, la pression va devenir rapidement intenable.

 

4- DECHEANCE DE LA NATIONALITE

            Il faut la mettre en place et cesser de donner la nationalité à tout un chacun, la loi le permet ! Les gens qui risquent aujourd’hui la déchéance de nationalité, n’auraient jamais dû l’obtenir, c’est une affaire de courage politique ! Or parmi nos dirigeants certains sont habités par la peur car les populations de l’immigration leur apparaissent comme ayant facilement recours à la violence. Il va pourtant falloir avoir le courage de traiter toutes les dimensions de ce sujet. C’est dans l’intérêt de tous et pour préserver l’avenir de notre société chaque jour plus déstabilisée. C’est la cohésion nationale qui est désormais en jeu !

Tout accepter met la France par terre.

 

5- INSERTION ET INTEGRATION !

L’intégration c’est le fait d’assumer l’héritage du peuple français, de porter soi-même

Les valeurs et les principes des français, de les transmettre à ses propres enfants. Il y a une forte dimension affective et morale. Considérer LE  pays d’accueil, comme SA patrie. De nombreux français d’origine étrangère l’ont prouvé notamment sur les champs de bataille par le sacrifice de leur vie. On ne peut pas exiger cette étape, elle est trop personnelle, trop intime. En revanche, l’insertion est absolument non négociable, c’est le respect des règles et lois de la société. Nombre de ces règles sont tacites, pas nécessairement inscrites dans les lois. L’insertion dans une société française ou autre constitue une étape indispensable avant l’intégration dans la Communauté nationale, c’est ce que ne respecte pas le droit du sol. En effet, devenir français est un processus qui doit être personnel, car il faut être prêt à assumer d’inscrire ses propres descendants dans un nouvel ordre généalogique qui n’est pas celui de ses ascendants biologiques et culturels. Il y a là une véritable rupture très difficile à assumer.

C’est pourquoi aujourd’hui, pour des raisons multiples, peu de gens ont le désir de devenir Français. Ils prennent les « papiers » parce qu’ils savent que c’est un sésame grâce auquel ils n’auront plus jamais faim et/ou froid. Beaucoup sont d’ailleurs honnêtes à cet égard et l’avouent : « je ne suis pas français, j’ai juste les papiers ». La communauté française reste pour l’instant silencieuse car elle est bâillonnée mais, comme dans tous les pays du monde, elle n’est pas prête à accepter comme françaises des populations étrangères à son identité.

 

6- ROLE MAJEUR DE LA LANGUE ET DE LA CULTURE

            L’école de la République dispense un savoir à transmettre qui crée un référentiel commun à tous les enfants. La langue est un passeport culturel indispensable pour naviguer dans la société française et notre système éducatif les a empêchés de pouvoir le faire dans les meilleures conditions possibles, en revoyant nos exigences sans cesse à la baisse et en ne jouant plus son rôle « sélectif ». Pis, l’école s’est mise à verser dans le relativisme culturel et même à leur transmettre des éléments de leur référentiel culturel, tâche qui ne devrait relever logiquement que de « l’enseignement » familial. Parallèlement à cette attitude, certains aspects ou événements de notre histoire ou culture nationales sont  tronqués voire carrément passés sous silence  pour éviter de heurter certaines « sensibilités  culturelles » d’enfants issus de l’immigration.

Aimer une langue à travers ses textes de littérature, ses contes et chansons enfantines, est un tremplin pour aimer un peuple tout en transmettant la culture du pays. Aujourd’hui, dans les rues, dans les cours d’école on ne parle plus le français, c’est un signe sans équivoque du réel refus d’intégration. Sans compter qu’un enfant qui ne peut s’exprimer et se faire comprendre du fait de la pauvreté de son langage, a une plus grande propension à devenir violent. Les efforts doivent donc se porter sur les écoles maternelles et primaires en mettant l’accent sur la transmission de la langue. Revoyons, aussi le circuit des Allocations Familiales pour que cet argent aille, en priorité, au projet éducatif, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui. Au lieu de remettre aux parents un chèque qui souvent sera envoyé au pays d’origine, donnons un cartable, des cahiers et des livres directement à l’enfant.

 

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